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Eventi | 09 luglio 2015, 14:21

#Nice 2015 #Promenade des Anglais: ecco l'evento dell'estate in Costa Azzurra

Jean-Jacques Aillagon ha accettato la direzione artistica della mostra diffusa più importante della metropoli dopo il successo di Un'estate per Matisse. Dal 12 giugno al 4 ottobre

La conferenza di presentazione dell'evento

La conferenza di presentazione dell'evento

'Nizza punta sulla sua Promenade des Anglais, che vogliamo diventi patrimonio mondiale dell'Unesco. Saranno tanti eventi, dal 12 giugno al 4 ottobre, tutti importanti, che continueranno il successo della mostra su Matisse dello scorso anno. Sono felice che la direzione sia andata a Jean-Jacques Aillagon, vero esperto del settore." così ha commentato il sindaco di Nizza Christian Estrosi alla presentazione del progetto

Di sotto le singole location con i loro eventi, in lingua originale per non alterare il significato

 

1 - Musées de la Ville de Nice

 

> MUSEUM D’HISTOIRE NATURELLE

(à la galerie des Ponchettes)

 

Du rivage à la Promenade. Une histoire naturelle

 

Avec sa plage de galets qui recèle une histoire géologique bouillonnante entre Alpes et mer Méditerranée, la Promenade montre ici sa véritable nature : formes façonnées par les éléments déchaînés, lignes de fracture au graphisme contrasté, traces fossiles témoins du passé.

Les galets inlassablement roulent entre terre et mer ; ils abritent dans leurs interstices une vie cachée  foisonnante de petits crustacés, d’algues et accueillent de nombreux oiseaux de mer qui, sitôt les baigneurs partis s’installent becs au vent en maîtres de la plage.

A quelques mètres du rivage, une riche faune marine va et vient au gré des vagues dont le fameux Ange de mer qui a donné son nom à la baie.

 

 

> MUSEE D’ARCHEOLOGIE DE NICE

 

D’Est en Ouest, 20 siècles de promenade sur le territoire niçois

 

À l’instar de la Promenade des Anglais, la Via Iulia Augusta est une importante voie de circulation qui reliait, à l’époque Romaine, Plaisance au Var, en longeant en partie les côtes de la Ligurie et celles de la Côte d'Azur. Elle permettait donc de relier l’Italie à la Gaule narbonnaise, en prolongement de la Via Æmilia et de la Via Aurelia. Construite peu après l'achèvement de la conquête des Alpes Maritimae contre les tribus celto-ligures par l'empereur Auguste (en 14 av. J.-C.), l’édification de la Via Iulia Augusta s’accompagne du choix de Cemenelum en tant que chef-lieu du nouveau pouvoir.

 

Cette exposition se propose d’évoquer l’évolution des voies de communication est-ouest depuis l’époque romaine jusqu’à la période contemporaine par le biais de nombreuses collections rassemblées pour l’occasion ainsi que des documents d’archives mais également des créations contemporaines.

 

 

> MUSÉE MASSÉNA

 

La Promenade ou l’invention d’une ville

 

C’est à partir de la fin du XVIIIe siècle que, sur le Vieux-Nice, se greffe une ville nouvelle, un « new borough », conséquence du développement d’une activité elle aussi nouvelle, celle de l’hivernage climatique dans ce qui va devenir la Côte d’Azur.

Au fil des décennies, cette activité ne va cesser de croître, attachant au rivage de la baie des Anges, une population de plus en plus importante de résidents, fortunés et talentueux, souvent aristocrates et parfois même membres de familles régnantes.

 

La ville nouvelle qui prend ainsi place dans le paysage niçois se caractérise par son urbanisme régulé, la densité des espaces verts, la profusion des villas, hôtels et pensions et même des églises non catholiques, disposées à accueillir les nombreux Russes, Anglais, Allemands … qui désormais y résident. Le symbole même de l’invention d’une ville nouvelle qui servira de modèle et de référence à de nombreuses créations urbaines, c’est la Promenade des Anglais, dont la Ville de Nice souhaite aujourd’hui proposer l’inscription au Patrimoine Mondial.

 

Cette Promenade est une réalité vivante, qui n’a cessé, en deux siècles, de croître et de se transformer, d’accompagner les mutations des pratiques touristiques, du tourisme élitaire du XIXe siècle au tourisme de masse, mais aussi de stimuler l’imagination des écrivains, des cinéastes, des peintres, des musiciens. C’est ce que montrera l’exposition de la Villa Masséna qui bénéficiera notamment de prêts en provenance des archives municipales, des bibliothèques municipales et de la cinémathèque de Nice.

 

 

> PALAIS LASCARIS

 

Promenades musicales 1924-1926

 

À Nice, entre 1924 et 1926, des "Fêtes d'Art", événements conçus et organisés par Gisèle et Paul Tissier, unis dans la vie et par une commune passion pour l'art et la musique, ont pris place à l’hôtel Ruhl, sur la Promenade  des Anglais. Ces Fêtes aussi spectaculaires que mondaines ont fait les beaux jours de la Côte d'Azur et marqué son histoire.

 

Titulaire d'un premier prix de harpe au Conservatoire de Paris, Gisèle Grandpierre-Desaux (1896-1988) épouse en 1915, Paul Tissier, architecte, aquarelliste et musicien. Ensemble, ils collectionnent des instruments de musique anciens.

 

 

 

Paul décède prématurément en 1926. En 1948, Gisèle acquiert à Nice la villa Beau-Site où elle organise des salons de musique et de poésie. 

 

L'exposition révèle ce pan d'histoire fabuleux et fastueux de la Promenade des Anglais issu de la rencontre des Tissier avec Nice, depuis la création de ces Fêtes musicales, jusqu'aux prolongements les plus récents à savoir le dépôt par l’Institut de France au Palais Lascaris de la fameuse collection d'instruments anciens de Gisèle Tissier classée au titre des Monuments historiques en 1988.

 

 

> MUSÉE DES BEAUX-ARTS

 

Raoul Dufy, la Promenade comme motif 

 

Raoul Dufy trouve sur la côte méditerranéenne, et tout particulièrement sur la Côte d’Azur, matière à explorer plus avant encore la représentation de la mer. Né au Havre, inlassable peintre des plages de Normandie, il séjourne régulièrement à partir des années 1920 sur la Côte d’Azur – son épouse est originaire de Nice – et y découvre une nouvelle qualité de lumière qui non seulement enrichit sa palette de bleus, mais l’amènera à cette dissociation des larges pans de couleurs intenses et du motif tracé au-dessus, dissociation qui demeure dans les esprits caractéristique du style de Dufy.

 

Cette exploration, comme souvent dans la peinture de Raoul Dufy, est conduite de manière systématique, sous forme de séries de peintures et dessins. Dufy peint ainsi inlassablement le casino de la Jetée-Promenade de Nice, y compris après sa démolition, accentuant peu à peu son aspect oriental, le parant de feux d’artifice sur fond de couleurs chatoyantes. La Promenade des Anglais lui inspire également de nombreuses œuvres, dont les plus saisissantes montrent la plage sous la forme d’une courbe d’un noir profond, ce noir dont Dufy expliquera que seul il lui permettait de représenter la lumière la plus vive. Autre déclinaison, celle des fenêtres ouvertes, entamée au Havre et reprise à Nice, en ces compositions virtuoses juxtaposant vue sur la Baie des Anges et intérieurs.

 

L’exposition permettra de découvrir ces séries de peintures inspirées par Nice au cours des séjours et promenades que l’artiste y fit, mais s’attachera également au lien qu’elles entretiennent avec la production de travaux d’arts décoratifs par Dufy durant les Années Folles. Dufy fut en effet l’un des principaux acteurs de la diffusion d’un style Côte d’Azur, à la fois à travers l’emploi répété de motifs marins et niçois (poissons, baigneuses, coquilles, palmiers…) et la création de somptueux tissus, notamment en collaboration avec le couturier Paul Poiret.

 

 

 

 

 

> MUSÉE D’ART NAIF

 

La Promenade, tout simplement …

 

L’exposition présentée au Musée International d’Art Naïf Anatole Jakovsky proposera un parcours depuis l’Art Naïf jusqu’à l’Art Brut et Singulier, où la Promenade devient  un lieu d’appropriation par des artistes, témoins d’une société qui évolue, se modèle, se transforme. Située à la frontière de la terre et de l’eau, la Promenade devient une limite à franchir pour les artistes « en marge » ou, au contraire, un territoire qu’ils s’approprient, pour ceux qui développent une forme d’esthétique basée sur la récupération d’objets de la vie quotidienne.

 

 

> MUSÉE MATISSE

 

Henri Matisse. Promenades intérieures

 

Fin 1917, Matisse souhaite se rendre à Marseille, puis à Nice, pour  bénéficier d’un climat favorable à sa peinture et s’arrête à l’hôtel Beau Rivage. Le temps maussade est d’abord décevant, mais le vent se lève et fait apparaitre le bleu intense de la mer, la luminosité  du paysage, la courbe de la promenade des Anglais.

 

Le peintre réside successivement à l’Hôtel Beau Rivage puis de la Méditerranée pour s’installer plus définitivement au 1 place Charles Félix  en 1921. Face à la baie des Anges,  son  attitude diffère de celles qu’il a eues au cours de ses séjours passés sur les rivages de Corse en 1898, de Saint-Tropez en 1904 et Collioure en 1905, berceau du fauvisme. Plus qu’en extérieur, il peint à l’intérieur des chambres d’hôtels ou  de son appartement-atelier, et peu à peu, se prend à  parer ses modèles de costumes, à les entourer de bouquets de fleurs, de coupes de fruits, d’objets, de tissus de toutes provenances. La lumière de Nice, filtrée par les persiennes qui dévoilent le bleu de la mer, procure au peintre l’atmosphère  favorable  à sa constante recherche d’une expression qui soit la plus proche de son émotion, en une sorte d’introspection.

 

L’exposition décline ainsi  cette démarche d’intériorisation progressive depuis les vues de la baie de Nice jusqu’à ces véritables paysages intérieurs peints derrière les persiennes.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

> MAMAC

 

-      La Prom' pour atelier 

 

L’exposition  « La Promenade pour atelier » retracera les réalisations et actions artistiques qui ont eu lieu ou ont été inspirées par la Promenade des Anglais. Cette investigation permettra de prendre la mesure de ce lieu mythique comme territoire privilégié pour la création contemporaine. Horizon de tous les possibles, l’arc azuréen est le témoin du partage du monde fantasmé par Yves Klein, Claude Pascal et Arman en 1947. Assailli par les passants et estivants, il deviendra un lieu de sociabilisation et le réceptacle de nombreuses performances liant étroitement l’art et la vie. Les actions de Ben et de Pinoncelli restent profondément associées au paysage de la Baie des Anges. Signal fort, le front de mer est également l’écrin d’installations monumentales pérennes ou éphémères de Noël Dolla, Alain Jacquet, Niki de Saint-Phalle et Bernar Venet. Les nouvelles générations d’artistes n’hésitent pas à détourner les clichés azuréens et l’esthétique balnéaire à l’instar de Stéphane Steiner et Baptiste César qui se jouent de l’imagerie des palaces. L’exposition combinera documents photo, vidéo ou audio aux œuvres les plus emblématiques retraçant un parcours historique de l’art contemporain sur le bord de mer.

 

 

-      Keith Sonnier : Light Works

 

Dans le cadre de la manifestation  PromenadeS des Anglais, le Musée d’Art Moderne et d’Art Contemporain de Nice proposera une exposition de l’artiste américain Keith Sonnier. Né en 1941 en Louisiane, Keith Sonnier est aujourd’hui mondialement reconnu pour son œuvre de lumière. Il débute sa carrière au milieu des années 1960 et emploie très tôt le néon. Ses contemporains sont Carl Andre, Dan Flavin ou Sol LeWitt. Il partage avec eux la volonté d’une sculpture anti-illusionniste et s’érige contre la froideur des sculptures minimales. Keith Sonnier utilise principalement des matériaux souples (tissus, rubans, voilages et grilles métalliques) et crée des néons aux formes courbes, inspirées de sa terre natale. Ses œuvres se révèlent, d’emblée, plus narratives et plus suggestives que celles de ses contemporains. Ses sculptures, toujours joyeuses, aériennes et mouvantes, s’échappent du cadre pour explorer les effets de la lumière sur les matériaux et l’espace.

Son œuvre a fait l’objet de nombreuses expositions en France et à l’étranger avec notamment les récentes expositions «When Attitudes Become Form» à la Fondation Prada à Venise, «Dynamo» au Grand-Palais (Paris) et «Neon – Who’s afraid of red, yellow and blue ?» à la Maison Rouge (Paris) et au MACRO (Rome).

 

 

 

 

 

L’exposition regroupera, sur environ 1 500 m², une cinquantaine d’œuvres des années 1960 à aujourd’hui. La lumière sera un axe privilégié de ce parcours, conçu comme une véritable déambulation.

 

 

Une œuvre célébrant la Promenade des Anglais sera spécialement réalisée par l’artiste pour l’occasion et jouera un rôle pivot dans le parcours proposé. Matériaux souples et formes courbes renverront à l’esthétique du balnéaire quand d’autres installations évoqueront l’horizon, autant de thématiques liées au bord de mer.

 

L’exposition bénéficie du label « 2015. Année de la lumière ».

 

 

> THÉATRE DE LA PHOTOGRAPHIE ET DE L’IMAGE

 

Martin Parr, un Anglais à Nice

 

Né en Angleterre en 1952. Martin Parr est originaire d’Epsom, dans le Surrey. Il fait partie des célèbres photographes représentés par l’Agence Magnum.

Couleurs voyantes, motifs bizarres et narrations concises sont les caractéristiques de la photographie de Martin Parr. Si plusieurs de ses images peuvent paraître excessives dans leur propos, elles sont toujours étonnamment inventives et pleines d’humour.

Pendant plus de trente années, Martin Parr a réalisé un vaste travail documentaire sur la société occidentale, principalement en Grande-Bretagne, son pays d’origine. Mais il s’est aussi intéressé aux phénomènes de la mondialisation tels que le tourisme de masse, les comportements consuméristes ou le soi-disant temps libre.

 

L’exposition « Life’s a beach » présentée par le Théâtre de la Photographie et de l’Image regroupera plus de soixante œuvres de grands formats et en couleur réalisées principalement sur les plages de Grande-Bretagne, du Mexique, d’Espagne, du Brésil ou du Japon, mais aussi à Nice, où il a su capter de son œil espiègle et sans compromis quelques clichés avec l’humour qui caractérise son travail.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

> GALERIE DE LA MARINE

 

Les diplômés de la Villa Arson sur la Promenade

 

L’exposition des diplômés 2015 de la Villa Arson constitue chaque année un rendez-vous artistique effervescent qui explore et rend compte du travail réalisé durant un cursus de 5 années d’études.

La galerie de la Marine, plateforme dédiée à la jeune création, située sur le bord de mer, invite les étudiants de la promotion 2015 de l’Ecole Nationale Supérieure d’Art de la Villa Arson à confronter leur travail au regard critique du public. L’exposition, qui se déroule en deux volets (le second ayant lieu à la Villa Arson) montrera la variété des pratiques artistiques et des médiums de ces tout-jeunes artistes et donnera lieu au Prix de la jeune création contemporaine, attribué à deux lauréats par la Fondation Bernar Venet et la Ville de Nice.  S’inscrivant dans la filiation de ses illustres ainés qui ont marqué l’histoire de l’art dans la région, la jeune création formée à Nice revendique à la fois une continuité historique et des axes de recherche toujours nouveaux en faisant preuve d’une richesse et d’une diversité d’inventions qui représentent avec force leur manière de vivre et de penser l’art aujourd’hui.

 

 

2 - Institutions nationales

 

> Musée national du sport 

 

En mode sport… sur la Promenade des Anglais

 

A l’été 2015, le Musée National du Sport présentera sa prochaine exposition intitulée En Mode Sport. Cette exposition propose de comprendre comment le sport et la pratique sportive ont influencé la mode vestimentaire (des tenues aux accessoires) et a contrario de montrer comment celle-ci s’inspire, s’enrichit et se diversifie en prenant le sport comme modèle. L’exposition mêlera à la fois une approche sportive et technique, une approche culturelle et une approche économique.

 

La collection du musée relative à cette thématique n’a jamais été présentée. Elle sera enrichie de prêts institutionnels (musée Galliera, UCAD, musée de Troyes…) et privés (Maisons de hautes couture, équipementiers sportifs). L’évolution des tenues de sport, des produits et des mœurs sera au cœur du propos et permettra au visiteur de s’interroger sur son propre quotidien et sur son époque.

 

Au sein de cette exposition, une exposition-dossier intitulée En mode sport… sur la Promenade des Anglais offrira un focus sur la mode azuréenne. Dans les années 1920-30, la rencontre entre le sport et la mode va en effet s’inscrire de manière originale dans l’espace urbain.

 

 

 

> Musée NATIONAL Marc Chagall 

 

Nice, soleil, fleurs

 

Marc Chagall, sous le charme des rivages méditerranéens, a offert à Nice une de ses images les plus célèbres. Sollicité en 1962 par le Commissariat au Tourisme Français qui souhaitait une publicité pour Nice et la Côte d’Azur dans les pays étrangers, Chagall représente la Baie des Anges, plongée dans une lumière azuréenne, tandis que veille au-dessus de la ville, telle une déesse tutélaire, une gracieuse sirène tenant un flamboyant bouquet de fleurs. Cette affiche touristique nous plonge dans l’univers onirique de l’artiste. Fasciné par la lumière méditerranéenne, Marc Chagall vient s’installer sur la Côte d’Azur à partir de 1950. Le bleu éclatant du ciel et de la mer, la végétation luxuriante, la plénitude lumineuse, enrichissent son œuvre de nouveaux motifs et nuances colorées.

 

L’exposition proposera un regard inédit sur les liens entre Marc Chagall et Nice. Elle permettra notamment de découvrir le porfolio Nice et la Côte d’Azur, composé de douze lithographies réalisées en 1967 par Marc Chagall et qui sont autant de déclinaisons du motif de la Baie des Anges. L’exposition regroupera œuvres et documents d’archives, afin de présenter un panorama à la fois de l’intérêt de Chagall pour la Promenade des Anglais, mais aussi de l’intérêt de Nice pour l’œuvre de l’artiste, qui a été exposée à plusieurs reprises à partir des années 1950 à la galerie des Ponchettes et à la galerie de la Marine.

 

 

> Villa Arson 

Marie Losier

 

Tout au long du premier siècle de l’existence du cinéma, Nice a inspiré les réalisateurs. La Promenade des Anglais, symbole même de Nice,  célèbre dans le monde entier, a été filmée  ou évoquée par des cinéastes et des artistes tels que : Vigo, Demy, Raysse, Ben...

 

C’est la raison pour laquelle la Villa Arson propose de mettre en œuvre un projet de création cinématographique autour du motif de la Promenade des Anglais. La cinéaste d’avant-garde, Marie Losier réalisera ce film d'artiste à partir de montages. Marie Losier, qui bénéficiera du concours de la monteuse Catherine Libert, apportera dans ce projet son savoir en matière de cinéma expérimental, enrichi par un dialogue permanent avec tous les arts et sa longue expérience de programmatrice de films à l’Alliance Française de New York.

 

Dans le cadre de ce projet, des projections auront lieu en plein air, notamment celle du film de Jean Vigo « A propos de Nice » qui fera l’objet d’un Ciné-Concert sur la partition musicale originale du compositeur François Paris.

 

 

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